J'avais préparé une bouteille pour la remplir de l'eau du ciel et puis je me suis dite qu'autant laisser couler l'eau et lui laisser la liberté de se jeter où elle voulait, voire de couler sous les ponts en pensant au temps qui passe.
J'ai pris ma bouteille et me suis jetée à l'eau avec elle. Après cela je vais, comme tous les jours, continuer de m'activer dans mes tâches quotidiennes mais ma bouteille elle, continuera de se promener entre deux eaux. si vous la rencontrez, ramassez-la et mettez le goulot à l'oreille : vous n'entendrez pas la mer mais bien l'echo de mon optimisme... BizaVous, Martine.